Guillaume, Jean, Alexandre Bresso,  Cte Sierakowski, né à Paris le 12 août 1986, est un anthropologue-ethnologue, historien de l'art et théoricien des symboles. Il est reconnu, entre autres, pour l'étude des logogrammes et phonogrammes du système d'écriture mis au point par l'ensemble des cultures épanouies anciennement en Basse Mésopotamie, et l'interprétation de l'art et de l'iconographie des civilisations autochtones des Amériques, notamment de Mésoamérique et d'Amérique du Sud. 

Il est engagé à l'étranger comme bénévole dans une mission de volontariat principalement aux chantiers de fouille dans l'État d'Oaxaca, puis à Pumapunku et à Joya de Cerén. Il participa secondairement à des exercices à Palmyre, un site archéologique gréco-romain et d'influence Perse, dans le désert syrien sous le patronage de l'archéologue Khaled Assad, puis à Uçhisar, une localité de Turquie, située dans la province de Nevşehir.

L'année 2010 marque sa participation à la 15ème Conférence Mayaniste Européenne à Madrid aux cotés des professeurs Harri Kettunen et Christophe Helmke. Son œuvre s'inscrit aux côtés de ses pairs tels que l'anthropologue Ignacio Bernal, et les professants mayanistes de discipline épigraphique et linguistique, Erhard Graefe, Marc Zender, et Alfonso Lacadena. Il exerce toujours ses fonctions de conseiller culturel à la tête du collectif Les ateliers Leonis du copiste italien Ernesto Ferrari, et de l'atelier Mæstri Scultori du mouleur statuaire, doctorant et academicien, l'argentin Omar Ricciardi.

Avec l'argentine C.S. Pozzi de Ferraris Espinosa, historienne de l'art, Monsieur G.j.A. Bresso poursuit l'exploration des sociétés précolombiennes du Mexique, et l'étude des découvertes archéologiques les plus pertinantes de la dernière décennie, toujours autour de la maison G.B & Associates. International Fine Art & Antique Dealers.  

Partenaire du Réseau UNEVOC, il s'investit dans la promotion de l'apprentissage et de l'innovation dans l'EFTP et, en particulier, dans le cadre d'échanges artistiques franco-japonais avec le doctorant en droit privé, le japonais A. Zokai, ancien chargé des affaires éducatives près l'Institut français du Japon - アンスティチュ・フランセ. 

Monsieur Guillaume j.A. Bresso est l'auteur de deux ouvrages consacrés aux cultures mayas et aztèques. Un ouvrage consacré à la civilisation Olmèque est en cours d'écriture.

Deux études comparées, l'une portant sur les sociétés agricoles du cône Sud et les cultures protohistoriques et paléolithiques de la péninsule indochinoise, et l'autre traitant du Japon (période Jōmon, culture Yayoi, période Kofun) et de la Chine ancienne et impériale sous les dynasties Xia, Shang, Zhou et Qin à Tang, seront publiées prochainement.

    En tant que symbologue et histoirien de l'art, c'est tout naturellement qu'il embrasse la numismatique, une science auxiliaire de l'Histoire. L'étude des monnaies, médaille et jeton peut être utile pour établir une réalité logique malmenée par l'idéalisation du pouvoir dans le « roman national ».

En effet, la numismatique permet de comprendre que le droit de battre monnaie est l’apanage exclusif de l’État et que la monnaie, par les types qu’elle véhicule, fonctionne à la manière d’un instrument médiatique de propagande qui produit et organise les conditions de vie du récepteur et que le pouvoir émetteur s’efforce de contrôler. Le discours monétaire fait une large utilisation de symboles conventionnels, liés pour l’émetteur comme pour le destinataire au terme indicateur d’une valeur, d’une idée. C’est à l’émetteur et à lui seul qu’il appartient de choisir l’unité monétaire, le signe, qui va circuler sur son territoire : il va lui donner cours légal, voire cours forcé. Language à part entière, elle offre une vue du monde qui est celle du producteur du discours monétaire mais aussi celle de son lecteur. La typologie monétaire est une réelle force de frappe, par l’usage de forme contingente associée à un concept. Les messages diffusés par la monnaie sont donc structurés par des codes spécifiques et déterminés par le contexte et par leurs conditions de production.

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G.B & Associates. International Fine Art & Antique Dealers.

En 2012,  les Masques de jade mayas ( une quinzaine de masques exceptionnels ont été découverts à ce jour ) entièrement restaurés par les plus éminents spécialistes de l'archéologie Maya furent présentés à la Pinacothèque de Paris. Ce groupe extrêmement rare, que le Mexique accepta exceptionnellement d'exporter, fut exposé pour la première fois aux côtés de centaines d'objets archéologiques en provenance du Mexique. À cette occasion, les masques furent mesurés et énumérés par la maison G.B & Associates. International Fine Art & Antique Dealers. 

Cinq années d'études aboutirent à l'ouverture d'un département dédié à la production de masques de pierres fines. En effet, dans le contexte de la protection du patrimoine culturel, l'usage des objets d'art ou des biens culturels sont sujet à des obligations légales. Aussi, G.B & Associates. International Fine Art & Antique Dealers travaille-t-elle à l'étude et à la production de répliques ou d'artefacts s'inscrivant dans la continuité des savoirs-faire de ses illustres prédécesseurs au point que l'aspect d'une création de l'esprit fasse concorde avec l'antique et offre ainsi la liberté de se plonger dans la cosmogonie sophistiquée de diverses cultures aujourd'hui éteintes.

Ces objets sont de trois types : 
• des reproductions identiques par technique de moulage sur l'original. 
• d'œuvres uniques d'ateliers locaux, dont les techniques sont restées conformes aux règles de l'art spécifiques à ces régions topographiques. 
• de l'art singulier affirmant sa continuité avec les précédents historiques.